19 janvier 2012

Formation sur les Droit de l' Homme et l' Egalité des Sexes


Pendant les jours 18 au 21 d' avril 2011, dans la salle de conferénce du C.R.S.N.  a été organize un atelier de Formation sur les Droit de l' Hommes et l' Egalité des Sexes.

Les droits sont un ensemble des facultés reconnues d’agir d’une certaine façon, de jouir de tel ou tel autre avantage, c’est aussi ce qui donne une autorité morale, un pouvoir, une influence ; enfin c’est un ensemble des lois et dispositions qui règlent les rapports entre les membres d’une société.

Ces droits sont par endroits jusque maintenant violés et transgressés, le territoire de Kabare étant l’unes des ban lieux où ces violations massives s’exercent surtout à l’égard des femmes, un  atelier de formation a caractérisé le lancement des activités des droits humains dans Kabare sous le patronage tripartite du AECID, le C.R.S.N. et COOPERA.

Ainsi, cet atelier s’était depuis bien le début assigné l’objectif de sensibiliser et de mobiliser homme et femmes afin que les premiers reconnaissent les droits de ces deuxièmes et que celles-ci s’imprégnent de leurs droits et sachent quand ils sont violés et transgressés.

Les textes pour la protection des droits de l’homme comme ceux de la femme en RDC existent, à la seule différence que leur application sur terrain reste une réalité autre et difficile à comprendre car ceux qui sont appelés à appliquer cette loi, sont les premiers à la violer.

MECANISMES DE DEFENSE DES DROITS DEL’HOMME DANS LE TERRITOIRE DE KABARE

La défense des droits de l’homme dans le territoire de Kabare nécessite une forte mobilisation de tout un chacun, une prise de conscience par toutes les personnes désireuses  de voir le pays poser son pied dans le plat des droits.

Parmi les mécanismes qui puissent exister au monde, la dénonciation serait la plus grande et la plus efficace de tous, elle serait suivie de la suppression de l’impunité.


« Aux grands maux des grands moyens », disent les français. En RDC, les auteurs des violations des quelques droits de l’homme ne sont pas sévèrement punis, et ceux qui le sont, ce sont des populations vulnérables qui ne sauraient pas corrompre faute des moyens, doù le phénomène « grosses légumes » qui ne sont pas punies par la loi et qui lors des sanctions que prévoit la loi, donnent des pots de vin aux personnes  chargées de faire respecter les droits et même aux institutions de protection de droit.